La linguistique statique opère sur des unités qui existent selon l’enchaînement synchronique. Tout ce qui vient d’être dit prouve que dans une succession diachronique on n’a pas affaire à des éléments délimités une fois pour toutes, tels qu’on pourrait les figurer par le graphique :
Au contraire,
d’un moment à l’autre ils se répartissent autrement, en vertu
des événements dont la langue est le théâtre, de sorte qu’ils
répondraient plutôt à la figure :
Cela
résulte de tout ce qui a été dit à propos des conséquences de
l’évolution phonétique, de l’analogie, de l’agglutination,
etc.